Concilier entre le bien être et la gestion de la performance, une des questions fondamentales qu’il faut poser pour éviter toutes crises de gestion. « Libérée l’entreprise », une de mes lectures préférée, répond fortement à cette question. De quoi veut-il libérer l’entreprise ? Du poids écrasant de la hiérarchie, de l’hypertrophie des services centraux, d’une hiérarchie non productive, bref de tout l’héritage de l’entreprise classique qui étouffe la curiosité, l’initiative et l’imagination. En d’autres termes, l’ entreprise libérée représente une aspiration à travailler autrement, à aller au travail non pas par obligation mais par envie. Les salariés y sont libres et responsables d’entreprendre toute action qu’eux-mêmes et décident comme les meilleurs – pas par leurs supérieurs ou des procédures. Si l’environnement organisationnel répond aux besoins de leurs salariés, ils auront envie de venir au travail et d’y donner le meilleur d’eux-mêmes, et augmenteront, par conséquent, les performances. Une des anecdotes que j’ai beaucoup apprécié, RH (Ressources Humaines) c’est Rendre Heureux. Je récapitule cette lecture par une citation d’un grand philosophe chinois Conficius qui disait  » Choisissez un travail que vous aimez, et vous n’aurez pas à travailler un seul jour de votre vie ».